A la fin de la compétition de la COPAD 2019, le vendredi 2 août, les débatteurs disent éprouver de la satisfaction. Ce fut une occasion d’échanger tous ensemble et de trouver des solutions sur les problèmes de l’Afrique, de « développer encore mieux l’intégration africaine », nous dira Ibrahim Ali Ascofaré, capitaine de l’équipe du Mali.

Pour Mathilde Zerbo, capitaine de l’équipe du Burkina Faso, « c’est une expérience enrichissante parce que vous êtes amenés à travailler en équipe, de voir d’autres manières de débattre. C’est aussi un brassage de plusieurs communautés… ».

C’est ce sentiment que l’on retrouvera chez les débateurs de l’équipe tchadienne, vice-championne de cette 4e édition. « Nous avons tiré des avantages énormes dans cette compétition, surtout que nous sommes à notre première expérience. L’art oratoire est vraiment indispensable pour notre jeunesse », nous dira Nome-ar Elodie, membre de l’équipe du Tchad.

Un niveau satisfaisant dans l’ensemble

Le niveau de la compétition est dans l’ensemble satisfaisant. Tout a été mis en œuvre pour avoir une compétition de qualité. Les membres du jury, parmi lesquels Henry Lopes, étaient très compétents et objectifs, selon les débatteurs. Les différentes équipes avaient aussi un niveau satisfaisant, de l’avis général. C’est d’ailleurs ce qui explique le petit écart entre les différentes équipes qui se sont affrontées tout au long de la compétition.

Judicaël Doulkom (Stagiaire)